vendredi 6 avril 2012

Le 25 mars au Bourget-du-Lac

Je continue à me remettre à jour dans mes aventures en parlant de la journée du 25 mars. Quand on pense à un 25 mars au Québec, on s'attend à aller pelleter son entrée ou encore aller à la cabane à sucre. De mon côté, je suis plutôt allé me baigner dans le lac du Bourget. Il faut dire que l'eau n'était pas chaude, mais quand même...

Avec un mercure à 25 degrés Celsius, l'eau a fait du bien.

Le parapente
Ça faisait longtemps que Manu me disait qu'il allait me faire faire un biplace en parapente. Il a donc téléphoné à un pilote qui a sa certification. Le pilote en question avait déjà un passager pour le soir-même, mais le tout n'était pas coulé dans le béton. Il nous a donc dit qu'il y avait peut-être une possibilité. Je suis donc parti avec Manu vers le site de prapente et me disant que j'allais surement juste descendre la voiture et faire un petit jogging. Cependant, Manu a reçu un appel lorsque nous étions en route nous annonçant que le passager prévu ne serait pas de la partie et que je le remplacerais.

J'ai donc rencontré Marc. Il m'a coaché de brillante façon sur mes tâches au décollage. En fait, c'est pas très compliqué: «Quand je dis cours, tu cours, quand je dis d'arrêter, tu arrêtes».

 Le vent était un peu fort, mais c'est surtout les rafales qui rendaient le vols plus difficile. À un certain moment, quand nous étions face au vent, on faisait littéralement du sur-place. Le vol s'est très bien déroulé, mis-à-part le départ qui s'est fait dans le désordre. 
 Quelques petits trucs dans les airs pour donner un peu plus de sensations et nous étions rentrés.

C'est moi qui avait la meilleure vue sur la région chambérienne.

J'ai vraiment adoré l'expérience. Tellement, que je suis retourné pour en faire un autre jour, mais là, les rafales de vents étaient beaucoup trop grosses. Tout ce qui était possible de faire était du gonflage. Il s'agit de prendre le parapente et d'en faire un cerf-volant, on garde donc les deux pieds sur terre. Je me suis donc fait initié, par Marc et Manu, au départ en parapente. Il faut normalement 4-5 séances comme j'ai fait avant de pouvoir penser à décoller seul dans un «grand vol».

Ça donne le goût de commencer l'activité. Je vais tenter d'en refaire le plus possible ici pour passer ma licence au Québec. J'ai dit à Manu que si je revenais à Chambéry un jour, ce ne serait pas sans mon permis de parapentiste!

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